Distance officielle IAAF : 42,195 km
Chrono : 4:47:29
Vitesse : 8,806 km/h
Classement scratch : 5286 / 5880
Classement catégorie M45 : 790 / 894
Parcours : route
Dénivelé : ?
24e édition (1re participation)
Dans la série « les grandes capitales européennes » j’ai opté cette année pour le marathon de Vienne en Autriche. Pour une fois je m’inscris avec une agence spécialisée, Planet Tours, qui va s’occuper de tout : avion, hôtel, dossards, visite de la ville, etc.
Nadine que j’ai connu lors de mon ascension du Kilimanjaro et avec qui j’ai gardé contact, sera aussi du voyage. Le groupe est très sympa, il y en a qui viennent du même club. Un certain Michel m’impressionne, il a déjà couru 41 marathons, souvent sous les 3 heures… Avec Nadine nous nous baladons en ville et dans le parc du Prater où nous faisons un tour dans la grande roue. Je me rappelle avoir mangé une pâtisserie dont je ne sais plus le nom, avec une crème légère… Je n’avais jamais mangé une pâtisserie aussi bonne ! J’en ai encore le goût dans la bouche !
Le lendemain nous nous retrouvons pour aller ensemble au départ. Il fait beau et assez chaud, avec un petit vent. Le départ est en faux-plat descendant et c’est une longue ligne droite. Le parcours est agréable, il y a une belle ambiance avec du public, nous passons devant les monuments baroques de la capitale autrichienne. Il y a de l’animation, on entend des valses… de Vienne ! J’ai un rythme assez régulier, mais ma vitesse baisse aussi régulièrement…
À partir du 30e nous avons une longue ligne droite en aller-retour dans le Parc du Prater, dans une allée ombragée, et où beaucoup de monde nous encourage. A u 35e nous sortons du parc pour les derniers kilomètres jusqu’à l’arrivée. Ouf ! Je fais moins bien qu’à Amsterdam mais je suis satisfait de ma course.
Le soir nous allons manger tous ensemble au resto, dans une super ambiance !
Quelques jours après une journaliste de Jogging magazine me contacte pour avoir mes impressions sur cette course, j’ai donc l’honneur d’apparaitre, ainsi que d’autres coureurs du groupe de Planet Tours – dont le fameux Michel – dans un article de la revue. La classe !
